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L'école de la République, l'école de la réussite.

Dernière mise à jour : 21 mars 2022

30 millions... C'est le nombre de mots susceptible de séparer deux enfants dès l'entrée en maternelle. Dès le plus jeune âge, les inégalités sortent de la bouche des enfants. L'École devient donc naturellement un pilier central pour garantir l’égalité.


L'Éducation doit être un vecteur d’émancipation sociale pour toutes et tous. Or, 100 000 jeunes sortent du système scolaire sans diplôme chaque année. Autant de talents n’ayant pas trouvé leur place, autant de potentiels non révélés, autant de jeunes laissés à la marge de notre société...


Face à ce constat et à ces inégalités, Pluriel pense qu’il existe des solutions et qu’il faut agir à la racine pour un impact à la hauteur des promesses républicaines. N’est-il pas de notre devoir de redonner ses lettres de noblesse à l’École de la République et au monde éducatif ? N’est-ce pas une finalité de l’éducation que de permettre à notre jeunesse de réussir ?


Réussir c’est trouver sa voie dans la société pour s’y sentir à l’aise et s’épanouir. La réussite est intrinsèquement liée à l’éducation, à la formation, à l’accès sur le marché du travail. Ce triptyque clé pour l’autonomie de chacun est encore imparfait et de nombreuses inégalités perdurent.


L’éducation est une question déterminante pour chaque français. Le manque de cadres et la crise d’autorité accentués par des situations familiales souvent monoparentales, rendent cette question centrale dans notre quotidien. La figure de l’enseignant, clé de voûte du système éducatif, doit attirer notre attention.


L’orientation puis la formation sont également des piliers indispensables pour assurer la réussite. Pourtant, aujourd’hui, un jeune sur deux s’estime mal accompagné par son établissement scolaire lorsqu’il s’agit d’orientation. Un jeune issu de la ruralité, de quartiers politiques de la ville ou d’une catégorie socioprofessionnelle peu favorisée, aura encore moins de chance d’être autonome dans son choix d’orientation et donc d’avenir.


Le bilan est très inquiétant au final puisque près de 20% des jeunes n’ont pas choisi leur orientation. Sur ce plan, la voie professionnelle mérite notre attention. Peu valorisée, elle est souvent proposée par défaut aux jeunes en difficulté scolaire. Le lycée professionnel rassemble aujourd’hui 57% de jeunes issus de classes défavorisées et 20% de décrocheurs contre 8% en voie générale.


L’accès au marché du travail, que ce soit par la voie du recrutement ou de l’entrepreneuriat est un sujet majeur. Sur le volet de l’employabilité, le nombre de jeunes qui font partie des NEETs est estimé à 1,5 million, soit 12,9% des jeunes de 15 à 29 ans ou 1 jeune sur 7 ; leur intégration sur le marché du travail pourrait permettre de gagner jusqu’à 0,4% de PIB.


L'Éducation et l’inclusion des jeunes issus de toutes les périphéries est une question économique, sociale et sociétale sur laquelle nous ne pouvons faire l’impasse. La réussite ne doit pas être une option mais une ambition pour toutes et tous.


Ouvrir le champ des possibles pour les élèves passe par une meilleure reconnaissance des enseignants.


Aujourd’hui, le métier de professeur n’attire plus, or il est essentiel. Chaque année, de nombreux postes ne sont pas pourvus, faute de candidats. Alors y a-t-il un désamours des Français pour les métiers de l’enseignement ?


Le manque d’attractivité n’est pas étonnant quand on sait que la France occupe la 20ème position des pays de l’OCDE pour la rémunération des jeunes professeurs. 29 400€ brut annuels pour les jeunes professeurs français, 40 000€ pour leurs homologues de l’OCDE en moyenne. Et que dire du concours d’entrée qui ne paraît pas en adéquation avec la réalité du terrain et les compétences nécessaires pour être opérationnel face à des jeunes qui sont l’avenir du pays. Que dire d’une formation initiale et continue qui n’est pas nécessairement pensée pour répondre aux problématiques concrètes des enseignants et des élèves.


Pour Pluriel, un des leviers de la réussite des élèves, c’est un meilleur accompagnement des enseignants. La revalorisation salariale nous paraît inévitable pour se rapprocher de la moyenne des pays de l’OCDE et traduire plus justement l’engagement de ses éducateurs du quotidien. Nous plaidons également pour une formation de qualité pour les enseignants avec une alternance de période de stages de terrain et de savoirs théoriques notamment en pédagogie et des bases en orientation professionnelle. Repenser les missions des enseignants et reconnaître des compétences spécifiques, en créant un statut de professeurs experts, pourrait être une réponse tant aux évolutions de carrières possibles qu’à la nécessité de faire réussir les jeunes. La diversité de leurs missions doit être reconnue et encouragée (ateliers de remédiations, interdisciplinaires...). Nous proposons également la création d’un statut de professeurs experts susceptibles d’intervenir dans les secteurs nécessitant une attention accrue pour appuyer ces territoires.


L’objectif est de favoriser dans les quartiers, en ruralité, dans les territoires périphériques en somme, la construction d’un tissu culturel et pédagogique composé d’un triptyque : des équipes pédagogiques appuyées par des associations et les collectivités territoriales. Nous souhaitons étendre la dynamique des Cités Éducatives, expérimentations lancées en septembre 2019, qui ont vocation à accompagner la scolarité, la parentalité, l’accès à la culture, aux sports, aux droits et à la santé sur des territoires en grande difficulté. Le but en somme étant de garantir un accompagnement renforcé auprès d’élèves les plus en difficultés pour honorer la promesse d’une école républicaine égalitaire et donner ses chances à toutes et tous.


En ce sens, le dédoublement des classes, mesure phare du quinquennat Macron, dans les écoles REP et REP+ est à saluer. Cette nouvelle organisation améliore le climat scolaire tant pour les élèves que pour les enseignants qui peuvent être au plus proche des élèves les plus en difficulté. Plus de 3 000 classes ont été concernées, avec des retombées positives constatées : 96,5% des professeurs rapportent une meilleure compréhension des modes de raisonnement des élèves, 98,5% une meilleure identification des besoins des élèves, 82% une meilleure dynamique de la classe. Une étude a même démontré que l'écart-type est de 8% en français et 13% en mathématiques en faveur des élèves REP+ par rapport au groupe témoin.


Si ces mesures ont pour objectif de permettre aux jeunes de mieux réussir, elles visent également à l’amélioration du climat scolaire, souvent dégradé au collège. Nous estimons que repenser la notion de carte scolaire est un levier majeur pour permettre à tous les jeunes une scolarité plus apaisée. La ségrégation observée aujourd’hui n’est-elle pas renforcée par les découpages, parfois arbitraires, créés par le passé ?


Pour proposer un collège plus juste, nous pensons que la meilleure solution est de combiner les expérimentations existantes, à savoir généraliser les « choix scolaires régulés » en proposant une sectorisation « multicollège » qui rassemblerait quatre établissements proches dans les zones de forte densité urbaine. Nous proposons également de mettre en œuvre des mesures pour renforcer l’attractivité de l’établissement le plus en difficulté de ce secteur pour le rendre plus attractif (options différenciantes, effectifs moins nombreux, projet d’établissement solide en lien avec l’orientation par exemple). Enfin, nous souhaitons mettre en avant « l’externalité positive », consistant à attribuer un bonus aux familles dites défavorisées, qui choisiraient de scolariser leur enfant dans un établissement dit prioritaire, dans le cadre du choix du lycée.


Cette combinaison de mesures pourrait permettre une meilleure équité entre les établissements. Le dernier point est lié à la question de l’enseignement privé qui accueille 17% des élèves en France. Pourrait-on envisager d’intégrer davantage d’élèves provenant de catégories socioprofessionnelles modestes dans les établissements privés ?


L’autre facteur fondamental de l’équation de la réussite scolaire sont les élèves eux-mêmes et sécuriser au maximum leur parcours est un devoir notamment au Collège. Nos jeunes traversent durant cette période turbulences dans leur vie et dans un même temps s’épanouissent. Dans la perspective de conserver des conditions optimales d’apprentissage, nous proposons un emploi du temps unique. Ceci afin de ne pas perturber le cycle de sommeil et maintenir un rythme régulier pour ces adolescents en pleine stimulation intellectuelle. Le collège est une période fondatrice des personnalités des jeunes, il nous semble également important de leur proposer un éventail d’activités durant le temps scolaire pour éveiller leur curiosité et les ouvrir au monde.


Pour réussir, généralisons ce qui fonctionne déjà !


Ces Activités Complémentaires de Formations (ACF) permettraient aux élèves de s’essayer à des savoir-faire et de développer leur esprit de cohésion pour faire société ensemble. Ces activités seraient proposées par les enseignants, les assistants d’éducation et les conseillers d’orientation psychologues durant des créneaux fixes l’après-midi et compléteront les programmes scolaires. Les Activités Complémentaires de Formation (ACF) sont déjà à l'œuvre dans certains internats d’excellence et ils permettent aux jeunes de développer leur curiosité, leur ouverture d'esprit et de s’épanouir dans des projets pratiques et concrets. Des projets culturels, artistiques, sportifs, solidaires et entrepreneuriaux pourront être choisis par trimestre par les collégiens. Les Activités Complémentaires de Formations (ACF) devront également inclure des modules pour aider le jeune à s’orienter en lui offrant la possibilité de découvrir différents corps de métiers par du personnel qualifié et du monde professionnel.


Accroître la place de l’orientation dans le parcours éducatif


Aider un jeune à s’orienter, c’est lui permettre de déterminer ses centres d’intérêt, ses aspirations, ses qualités et ses compétences. C’est aussi lui faire découvrir les opportunités scolaires et le monde professionnel. Financer intégralement les heures dédiées au Parcours Avenir - 54 heures à partir de la Seconde, 36 heures en 3e et 12 heures en 4e - est une priorité !


Les enjeux sont très forts parce que réussir l’orientation, c’est un grand pas vers l’insertion. Or, aujourd’hui, la capacité de notre système éducatif à orienter est imparfaite et l’orientation porte les stigmates des inégalités sociales et territoriales. La capacité à choisir est indexée sur la performance scolaire conjuguée au niveau d’éducation des parents. Mais peut-on accepter qu’un jeune issu de la ruralité, d’un quartier politique de la ville ou d’une catégorie socioprofessionnelle peu favorisée ait moins de perspectives d’avenir ?


Réussir l’orientation ne peut s’envisager qu’en s’appuyant sur un personnel qualifié et suffisamment nombreux. Cependant, aujourd’hui, 85 % des professeurs principaux de Terminale déclarent ne pas être formés à l’orientation et on compte seulement un psychologue de l’Education Nationale pour 1500 élèves.


Nous portons l'ambition d’offrir à chaque jeune, les clés de la réussite pour lutter contre les inégalités de destin et permettre à nos enfants de s’épanouir, de trouver leur place dans un monde qui se transforme.


Le collège, période charnière pour le jeune mais aussi un catalyseur d’inégalités sociales et économiques ne doit pas être une période subie. Les filières professionnelles et technologiques doivent cesser d’être imposées aux élèves les plus en difficulté mais devenir de réels choix motivés. Ces formations conduisent à des métiers le plus souvent en tension, indispensables pour les industries du futur et les défis liés à la décarbonation et à la digitalisation de notre société. Des efforts ont été entrepris, il faut désormais les amplifier.


Dans cette perspective, nous estimons que la formation initiale et continue des enseignants aux enjeux de l’orientation et à la mise en œuvre du Parcours Avenir doit être renforcée. Nous proposons de faire de cette compétence un levier d’évolution professionnelle. La création de postes avec une expertise orientation pourrait permettre, pour certains professeurs, une évolution de carrière. Leurs missions seraient d’accompagner les élèves, d’organiser des ateliers, de coordonner les acteurs et de former d’autres professeurs, en travaillant en partenariat avec des psychologues de l’Education nationale, plus nombreux et mieux formés également.


Mieux accompagner les périodes de stage


Le stage représente l’occasion de se confronter au marché du travail, et dans de nombreux cas, devient déterminant à l’orientation de l’étudiant pour sa carrière et ses choix futurs. Il symbolise pour beaucoup, le seul moyen de passer de la théorie à la pratique durant le cursus car il vient étayer un curriculum vitae, fait découvrir un ou plusieurs métiers, et permet de participer à la construction du réseau dont le professionnel en devenir à nécessairement besoin. Ceux-ci peuvent être non-rémunérés s’ils s’étalent sur une période de moins de 44 jours consécutifs et cela concernerait 46% d’entre eux selon le Ministère de l’Enseignement Supérieur. Il est très difficile de pouvoir établir de réels chiffres officiels, hors enquêtes disponibles, sur la situation des stages non-rémunérés puisque leur déclaration est facultative.


D’autre part, si les stages obligatoires sont effectués peu importe la situation économique de l’étudiant, il paraît en revanche peu concevable qu’un étudiant en situation de précarité ait l’initiative d’effectuer un stage dans une entreprise durant le cours de ses études, à la différence d’un étudiant en meilleure situation, si celui-ci est non-rémunéré. Un étudiant en bonne situation financière a donc plus de chance de pouvoir étayer son curriculum vitae d’expériences supplémentaires grâce aux stages non-rémunérés qu’un étudiant en situation de précarité qui, du fait de sa situation, ne pourra quasiment jamais en faire.


Nous croyons fermement que les stages sont une composante essentielle de la formation des jeunes ; la mise en place de trois stages obligatoires durant la scolarité des élèves, avec chacun des objectifs bien définis (observation, maîtrise des savoir-être, découverte d’une filière) serait riche et formateur. De plus, il est nécessaire de rendre obligatoire la déclaration du contrat de stage par l’entreprise, qu’il soit rémunéré au seuil minimum, ou non-rémunéré, afin de pouvoir analyser les comportements qui découlent de cette convention et mieux identifier les difficultés autour du sujet. Enfin, les stages devraient être tous rémunérés à partir de 16 ans grâce à des financements mixtes entre les Régions et l’Etat en fonction du public visé ou en permettant le financement d’un certain quota de stages pour que les stages soient une réelle opportunité pour toutes et tous.


Les établissements scolaires ne pourront être efficaces sur l’orientation que s’ils disposent d’une meilleure connaissance du monde professionnel. Il est par conséquent fondamental de rapprocher l’école de l’entreprise via des échanges, des interventions, des formations et des stages. Les élèves seront ainsi en mesure d’appréhender le monde professionnel.


Les Grandes Écoles doivent se recomposer pour éviter la double reproduction sociale et territoriale.


Aujourd’hui, l'Élite française est formée sur les bancs des Grandes Écoles qui sont reconnues comme des pôles d’excellence. Cependant, quelle reconnaissance pour les talents de la voie professionnelle ? Et si l'Élite se conjuguait au pluriel ? L'Élite doit pouvoir s’élargir et se recomposer.


Nous avons la conviction que les établissements d’excellence de la voie professionnelle méritent d’être élevés au statut de Grande Ecole. Ces formations artisanales et techniques (gastronomie, mode, aéronautique, industries du futur...) sont capitales pour renforcer le rayonnement de la France. Il est urgent de reconnaître le travail d’orfèvre de ces talents qui font briller la France au quotidien et même au-delà de nos frontières. Cette mesure impactera positivement l’image des voies artisanales et techniques, renforcera leur attractivité et valorisera les jeunes qui les choisissent.


Nous nous devons également d’ouvrir socialement les Grandes Écoles pour une meilleure représentation de la société.


À Polytechnique ou à HEC, 27% des admis ont obtenu leur Baccalauréat à Paris, correspondant à 3% des bacheliers de France. Au-delà des inégalités territoriales, les inégalités sociales pour accéder aux grandes écoles sont criantes. Aujourd’hui, les élèves boursiers ne représentent que 12 % des effectifs en écoles de commerce (15 % à HEC), 23 % en écoles d’ingénieur (11 % à Polytechnique), contre 41 % à l’université. Sciences Po Paris fait figure d’exception avec 29 % de boursiers sur critères sociaux. Pourtant, en 2010, les pouvoirs publics fixaient un objectif de 30 % d’étudiants boursiers dans les grandes écoles, délivrant 44% des grades masters en France.


Au-delà des freins culturels ou liés à l’orientation, des barrières financières demeurent : même boursiers, les étudiants doivent parfois s’acquitter de frais d’inscription très substantiels en Grandes Écoles (21 600 € minimum par an en master à HEC, près de 12 000 € à l’ESCP). Elles entretiennent un système à deux vitesses dans lequel l’université accueille l’immense majorité des boursiers, tandis que les grandes écoles restent un lieu de reproduction sociale.


C’est pourquoi nous proposons de mobiliser plusieurs leviers pour atteindre l’objectif de 30 % de boursiers dans les grandes écoles d’ici 2025.


Tout d’abord, nous suggérons de lever tous les freins financiers en imposant l’exonération totale de frais d’inscription pour les boursiers sur critères sociaux. Ensuite, il faut inciter la mise en place des voies d’accès ou des bonifications spécifiques pour les boursiers et démultiplier les programmes « talents » pour lever dès le lycée l’autocensure que trop de jeunes issus de milieux modestes continuent à s’imposer. En outre, le rétablissement de la bourse au mérite pour les étudiants boursiers ayant eu mention Très Bien au bac à 1800 €, est une mesure symbolique forte pour soulager les bacheliers méritants, pour qu'ils se concentrent sur leurs études.


Si le système de quotas de boursiers est accepté par les Grandes Écoles aujourd’hui, il ne concerne que les candidatures. Nous voulons que ce principe se traduise en terme d’admission pour inclure davantage de profils boursiers, en baisse de 2 points dans les Écoles de Commerce depuis 4 ans. Les concours d’entrée, exception française, sont de plus en plus sélectifs et traduisent une fermeture sociale comme pour l’INSA puisque 4% de boursiers en moins se sont vus refuser les portes de cette Grande École.


Il est capital d’agir pour une plus grande ouverture sociale au sein des Grandes Écoles qui doivent prendre leur part dans la promesse de méritocratie républicaine. Les barrières financières restent encore trop hautes pour permettre à un jeune issu des périphéries de se projeter et croire en ses capacités. L’apprentissage est une solution vertueuse qui ne met pas en difficulté l’étudiant par le coût de sa formation, pris en charge par l’employeur. L’épanouissement de l’étudiant est double puisqu’il profite à la fois de savoirs théoriques mais aussi et surtout de savoir-faire et d’une posture professionnelle aguerrie.


L’apprentissage doit être valorisé et encouragé puisqu’il crée un cercle vertueux entre entreprises et monde pédagogique. Ce dernier se nourrit des enjeux concrets et des nouvelles technologies développées par les acteurs professionnels où les apprentis sont les médiateurs. Les passerelles qui évoluent en synergie sont la clé pour plus d’innovations, et la diversité des profils accentuent davantage ces dynamiques.


L’Éducation est le socle d’une société plus juste dans laquelle nous souhaitons faire évoluer nos enfants. Alors donnons les clés pour que chaque enfant, chaque adolescent puisse choisir son avenir dignement et qu’il réussisse à ouvrir les portes qu’il souhaite.


Si notre République est une et indivisible, notre société est plurielle. Sa force, c’est la diversité !

Notre promesse républicaine, c’est permettre à chacun de réussir, de trouver sa place dans notre société, indépendamment de son lieu de naissance, de son origine ou de ses particularités. Cette République porteuse de valeurs généreuses, d’égalité et d’épanouissement, a nécessairement besoin de conférer une place primordiale à l’Éducation.


L'Éducation est un droit universel pour réussir,

L'Éducation est un devoir qui doit ensemble nous unir,

L'Éducation est un engagement, une promesse pour l’avenir !

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